: […] L'élection de Barack Obama à la présidence des États-Unis, en 2008, change la donne. 1 - L’intervention américaine en Irak : petit rappel des faits; 2 - Principes élémentaires de propagande appliqués à l’Irak 2003; 2.1 - Nous ne voulons pas la guerre; 2.2 - Le camp adverse est seul responsable de la guerre; 2.3 - Le chef du camp adverse a le visage du diable L’ancien premier ministre vient de signer une tribune dans laquelle il se dit hostile à l’intervention militaire en cours contre les combattants de l’État islamique. Publié le 09 avril 2003 à 01h31 - Mis à jour le 09 avril 2003 à 01h31. Le 20 mars 2003, le président américain déclenche une intervention armée en Irak. Forts de leur succès en Afghanistan contre le régime des talibans et du soutien à leur guerre contre le terrorisme, les États-Unis décident d'abattre le régime de Saddam Hussein sans l'aval des Nations unies. Il rencontre notamment le premier ministre britannique Tony Blair qui se rallie sans peine à ce scénario au point, quelques mois plus tard, de présenter un rapport de 55 pages démontrant que l'Irak développe non seulement des armes chimiques et bactériologiques, mais aussi des armes nucléaires qui pourraient être opérationnelles d'ici un à cinq ans…. 23 mars 2003Edition essentiellement consacrée à l'intervention de la coalition anglo-américaine en Irak. Une guerre éclair qui aboutit en quelques jours à la chute du régime de Saddam Hussein, mais plongera durablement l'Irak dans le chaos. Carte familles nombreuses : jusqu’à 75 % de réduction sur les billets de train. 2 Nous allons principalement nous intéresser aux 3 premiers mois de l’année 2003. Dix ans plus tard, la situation sécuritaire, si elle n'est pas comparable avec celle qui prévalait de 2005 à 2008, demeure précaire. Exposé de Relations Internationales: Réflexions sur la guerre d'Irak de 2003 (13 pages) Au début du mandat de Georges Bush père, les USA recueillent les fruits de leur victoire dans la guerre froide. Dans son livre Le Temps des turbulences paru en 2007, Alan Greenspan, qui dirigea la Réserve fédérale de 1987 à 2006, n'a pas hésité à dire tout haut «ce que tout le monde sait: l'un des grands enjeux de la guerre d'Irak était le pétrole». avertissement formel en bombardant des terrains d'aviation iraniens le 20 septembre 1980, pénétrant sur le territoire iranien deux jours plus tard L'invasion a conduit à la défaite rapide de l'armée irakienne. Pourquoi l'Amérique de Gorge W. Bush a-t-elle envahi l'Irak? ... 190.000, au moins, est le nombre des personnes tuées en Irak depuis 2003, ... Bien résumé ! Alors que l’on comptait à la fin de la guerre en 2003 129 morts américains et 31 britanniques, fin 2011, près de 4 500 soldats américains y ont laissé la vie. Comment choisir le meilleur extracteur de jus ? « IRAK GUERRE D' - (2003-2011) », Encyclopædia Universalis [en ligne], Passée la rapide victoire du printemps en Irak, le président et la faction néo conservatrice se sont trouvés en difficulté dès l'été, après avoir misé le destin de la présidence sur une … La CIA a plaidé coupable. Lire la suite, Dans le chapitre « L'exercice du pouvoir » Après la victoire sur l'Afghanistan, les dirigeants américains se tournent vers l'Irak. Lire la suite, Homme politique turc, Premier ministre de 2003 à 2014, président de la République depuis 2014. Il joue dans un club professionnel de football et suit les cours de l'université de Marmara. Le 20 mars 2003, sans l'aval de l'ONU, les Etats-Unis de George W. Bush envahissent l'Irak. Hans Blix sait de quoi il parle. En réalité, il est clair qu'outre une volonté d'influencer les évolutions politiques de la région, l'intervention militaire de 2003 a permis aux États-Unis de reprendre pied dans un pays stratégique du point de vue énergétique et d'en évincer la Chine et la Russie, qui y avaient développé leurs intérêts. Libéré de ses alliés nationalistes, José María Aznar n'a plus à chercher le consensus avec les autres forces politiques. Al-Qaida et ses affiliés s'implantent dans le pays. Le ministre de la Défense italien Antonio Martino se risque à aller encore plus loin. Saddam Hussein, qui avait pris la fuite en avril 2003 lors de la chute de Bagdad, est arrêté en décembre. ... Il s'agit de son premier déplacement en Irak depuis le début de la guerre, le 20 mars. Considérées comme des forces d'occupation, les troupes engagées doivent faire face aux divers mouvements de résistance qui s'organisent sur le territoire irakien et aux nombreuses critiques à travers le monde. La campagne militaire américaine débute le 19 mars 2003, Bagdad tombe le 9 avril et le 1er mai, la bannière Mission accomplished est brandie sur le porte-avion nucléaire … Résumé (fre) L'année 2003 marquera peut-être un tournant pour l'Administration Bush. En 2001 c'était George Tenet le directeur de la C I A et non James Woolsey.  : […] Le pays sombre dans la guerre civile. Unis et certains pays européens. Né le 26 février 1954 à Rize, dans le nord-est de la Turquie, au bord de la mer Noire, Recep Tayyip Erdogan se forge dès le lycée la réputation d'un fougueux défenseur de l'islam politique. Le 8 mai 2001, devant les caméras de la R.A.I., […] À la différence de François Mitterrand, toutefois, le nouveau président ne profitera guère de l'« état de grâce » qui prolonge dans l'opinion la victoire électorale. toute cette histoire restera comme une tache indélébile sur l'honneur des USA .... Bonjour,juste pour signaler une petite erreur dans cet article. Bush envahissent l’Irak dans le but de faire tomber le dictateur Saddam Hussein et son parti Baas. Le but de cette guerre est de renverser Saddam Hussein afin d’empêcher ce dernier de se procurer la bombe atomique. Il sera exécuté par pendaison un an plus tard. Outré d'avoir été aussi grossièrement manipulé, Colin Powell sort de sa réserve et demande que la CIA et le Pentagone lui expliquent pourquoi ils lui avaient transmis des informations erronées. En 2002, le vice-président américain Dick Cheney entreprend une tournée diplomatique, où il martèle que Saddam «développe des armes de destruction massive». En 2003, les États-Unis auront tenté jusqu'au bout de convaincre les membres du Conseil de sécurité des Nations unies de l'existence d'armes de destructions massives en Irak. En fait, Jacques Chirac n'a que peu amélioré au premier tour du scrutin de 1995 ses scores de 1981 et de 1988, et l'élection présidentielle elle-même a, de façon générale, exprimé la réserve des Français à l'éga […] À partir de janvier 2007, le Congrès des États-Unis ne soutient plus George W. Bush. Président en 1995 d'Halliburton, Dick Cheney assurera ainsi au géant de l'équipement pétrolier de mirobolants contrats. Après près de neuf années, le bilan du conflit irakien est très lourd. Résumé. Temps de Lecture 9 min.  : […] «Affirmer que tout le processus a été imperméable au climat politique n'est tout simplement pas crédible» affirme Paul Pillar, un ancien de la CIA, spécialiste du Moyen-Orient, aujourd'hui professeur à l'université Georgetown. Résumé du document. L'apocalypse commence. Chaque mois, les victimes se comptent par milliers. Rappel des dates-clés de l'Irak depuis l'invasion américaine et la chute du régime de Saddam Hussein en 2003. Il s'appuie sur des photos satellitaires, des écoutes téléphoniques et agite une fiole supposée contenir de l'anthrax. (Le territoire et les hommes) - Le retour à la démocratie, https://www.universalis.fr/encyclopedie/guerre-d-irak/, Des attentats du 11 septembre 2001 à la mort d'Oussama ben Laden, L'opération « Liberté pour l'Irak » (20 mars-14 avril 2003), La seconde législature de Silvio Berlusconi, dictionnaire de l'Encyclopædia Universalis. Il est él […] Palmarès des villes où investir dans l'immobilier, Studios et 2-pièces : les loyers ville par ville, Barême des droits de succession et donation. Lire la suite, Dans le chapitre « L'opération « Liberté pour l'Irak » (20 mars-14 avril 2003) » L'intervention armée américano-britannique « Liberté pour l'Irak » lancée le 20 mars 2003 contre l'Irak a provoqué la chute du régime de Saddam Hussein après une vingtaine de jours de combats. Les détournements simultanés de quatre avions (deux s'écrasent contre le World Trade Center, un contre le Pentagone, le quatrième s'écrasant sans frapper sa cible, sans doute le Capitole ou la Maison-Blanche) […] «Dans le cas de l'Irak, ajoute le Suédois Hans Blix, il y a eu une tentative de la part de certains pays d'éradiquer des armes de destruction massive qui n'existaient pas». À l'époque, les Américains n'ont d'autre choix que de projeter leur puissance là où se situent les réserves pétrolières essentielles à la poursuite de leurs activités économiques. «Toutes les guerres sont des erreurs», confie le général australien Peter Cosgrove, qui dirigeait les forces australiennes en Irak en 2003. Un objectif qui se nourrit, chez les idéologues néo-conservateurs de l'administration Bush, d'une forte vision […] Mardi, cinquante-deux personnes ont été tuées lors d'une nouvelle série d'attentats antichiites revendiqués par al-Qaida. Quel est le meilleur home cinéma sans fil ? Ultimatum unilatéral états-unien ordonnant à Saddam Hussein et à ses fils de quitter l’Irak sous 48h [Réseau Voltaire] C'est à cette époque q […] En novembre, la résolution 1441 de l'O.N.U. Alors que L'Olivier semble avoir admis à l'avance sa défaite, la campagne électorale est dominée par l'omniprésence de Silvio Berlusconi, qui recourt aux techniques de marketing les plus affûtées (tour de la péninsule en bateau, utilisation de la télévision, affichage généralisé, édition d'un livre sur sa vie tiré à 15 millions d'exemplaires, etc.). James Woolsey, qui dirige alors la CIA, évoque un «mariage très fructueux entre Saddam Hussein et Ben Laden». Alors, qui a menti? une offensive américaine dans le centre de l'Irak, le 29 mars 2003. «C'est absurde», lui répond Donald Rumsfeld qui admet des «erreurs», mais se défend, sans convaincre, d'avoir été «malhonnête». L'Irak figurait sur l'« axe du Mal » fustigé par le président George W. Bush à la suite des attentats du 11 septembre 2001, Élargissez votre recherche dans Universalis. Son style d […] La présence militaire américaine en Irak a duré près dune décennie, dabord au titre de force occupante (2003-2008), puis en tant que force restauratrice dun gouvernement irakien fragilisé par la chute du régime et la guerre civile qui sensuivit (2008-2011). Il dirigeait à l'époque la commission de l'ONU chargée de rechercher la présence d'armes de destruction massive en Irak. Lire la suite. La véritable raison de la guerre d’Irak en 2003 Par Paul Craig Roberts Arrêt sur info — 06 avril 2016. Facebook. Mais la communauté du renseignement n'est pas seule en cause. Saddam Hussein (ici, lors du sommet arabe à Bagdad en mai 1990), président de l'Irak de juillet 1979 à avril 2003, a ordonné, en septembre 1980, l'attaque contre l'Iran, début d'une guerre qui allait durer huit ans, puis a fait envahir le Koweït, en août 1990. Il fait partie de la mouvance des néo-conservateurs, présents – sans que leur rôle soit déterminan […] Guerre d'Irak : comment tout a commencé il y a dix ans, Les articles en illimité 1€ le premier mois sans engagement, Calendriers et résultats des matchs en direct, Résultats, classement général Tour De France, Conseils alimentation, nutrition et santé. LA GUERRE D'IRAK : LA STRATÉGIE DU FAIBLE / 399 Pendant le conflit lui-même, la propagande américaine attribuait la résistance dans le sud à des fedayin fanatisés10 et à des soldats réguliers pris en otage par une poignée d'ultra-loyalistes. Certains jugeaient que la guerre du Golfe, en 1991, n'était pas allée assez loin. Cependant, initialement, loccupation était pensée dans une logique court-termiste. Les États-Unis décident cependant d'intervenir sans mandat explicite de l'O.N.U. © 2021 Encyclopædia Universalis France.Tous droits de propriété industrielle et intellectuelle réservés. Aucune arme de destruction massive n'a été retrouvé en Irak. Combats de rue, attentats, assassinats mettant aux prises insurgés chiites et sunnites d'un côté, forces de la coalition de l'autre. L'attentat contre un mausolée chiite de Samarra, au nord de Bagdad, en février 2006, donne le coup d'envoi d'un conflit confessionnel d'une violence inouïe. L'invasion, le 20 mars 2003, de l'Irak par la coalition menée par les États-Unis fut en effet une immense partie de poker menteur qui se solda par plusieurs centaines de milliers de morts. Le 20 mars 2003, malgré l'hostilité de la France, de la Russie et de la Chine, Washington décide de lancer l'opération «Irak Freedom» sans l'aval du Conseil de sécurité. Lire la suite, Dans le chapitre « La seconde législature de Silvio Berlusconi  » Les Etats-Unis prennent la tête de la coalition internationale pour repousser l’invasion du Koweït par le président irakien, Saddam Hussein.Cependant, la victoire de la coalition ne dépose pas Saddam Hussein et les Etats-Unis imposent un blocus sur l’Irak qui va considérablement ralentir l’économie du pays. Mais tout est «bidon» et le général Powell le regrettera amèrement. remporte haut la main les élections législatives de mars 2000 en obtenant la majorité absolue avec 44,6 p. 100 des voix. Lire la suite, Dans le chapitre « La droite décomplexée » N'empêche, les spéculations vont bon train. Aux affrontements armés s'ajoute le délitement de la société irakienne.  : […] Durant l'été de 2002, alors que Washington menaçait Bagdad d'une intervention préventive, l'Irak avait accepté la reprise de la mission de désarmement instituée par les Nations unies après la guerre du Golfe de 1990-1991. L’organisation État islamique trouve son origine dans la guerre d’Irak de 2003-2011. Après son arrivée au pouvoir, Tony Blair jouit rapidement d'une popularité inégalée, atteignant un taux d'approbation de 90 points, au moment du congrès travailliste d'octobre 1997. Le résultat, affirme un rapport officiel d'enquête publié en 2005, a été «l'une des faillites du renseignement les plus préjudiciables de l'histoire américaine». Lire la suite, Quarante-troisième président des États-Unis (2001-2009), George Walker Bush est l'aîné des six enfants du président George Herbert Walker Bush et le petit-fils du sénateur du Connecticut et banquier Prescott Bush. Devant le Conseil de sécurité de l'ONU, Hans Blix et Mohamed ElBaradei, à la tête des inspecteurs de l'ONU, indiquent pourtant n'avoir trouvé aucune preuve de ces allégations. La guerre entre l'Iran et l'Irak, qui débute le 22 septembre 1980, est une guerre faite de paradoxes : pour la première fois au Moyen-Orient, Israël n'est pas en cause, ce sont deux pays musulmans non alignés qui s'affrontent. Le 20 mars 2003, malgré l'hostilité de la France, de la Russie et de la Chine, Washington décide de lancer l'opération «Irak Freedom» sans l'aval du Conseil de sécurité.  : […] Lire la suite, Dans le chapitre « La guerre préventive contre l'Irak » Proche des services secrets américains, «Curveball» - c'est son nom de code - affirme avoir tout inventé pour convaincre les États-Unis de renverser Saddam Hussein. Les attentats du 11 septembre 2001 sont planifiés dans la même logique, car Al-Qaida espère qu'une invasion de l'Afghanistan sera aussi fatale aux États-Unis qu'elle le fut à l'Armée rouge. Il est né le 6 juillet 1946 à New Haven (Connecticut) alors que son père, après avoir combattu comme pilote pendant la Seconde Guerre mondiale, avait repris ses études à Yale.  : […] L'intervention armée américano-britannique « Liberté pour l'Irak » lancée le 20 mars 2003 contre l'Irak a provoqué la chute du régime de Saddam Hussein après une vingtaine de jours de combats. Invasion de l’Irak par les Etats Unies La guerre d'Irak, parfois connue sous le nom de troisième guerre du Golfe , a débuté le 20 mars 2003 avec l'invasion de l'Irak (dite « opération Iraqi Freedom ») par la coalition menée par les États-Unis contre le parti Baas de Saddam Hussein. C'est la question posée dès le lendemain des attaques par George W. Bush à ses subordonnés. Dominique de Villepin doit se sentir bien seul aujourd’hui. Le 13 décembre 2003, Saddam Hussein est débusqué dans sa cachette près de Tikrit, barbu, hirsute, méconnaissable. Faut-il s'en étonner ? Le retour de la guerre ouverte en Irak depuis l’invasion américano-britannique de mars 2003, douze ans après la précédente guerre du Golfe, semble signifier l’échec du processus de rétablissement de la paix mis en place par la résolution 687 (1991) du Conseil de sécurité. Cependant, malgré la victoire de ses troupes obtenue 26 jours plus tard et l'arrestation de Saddam Hussein qui suit, la guerre civile menace entre chiites et sunnites. Cette photo, prise le 27 mars, montre le complexe présidentiel touché par un raid aérien. George W. Bush et les faucons de son gouvernement n'auront de cesse de convaincre leurs alliés que Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive. Elle débute en mars 2003 lorsque les Etats-Unis dirigés par G.W. Selon Martino, Oussama Ben Laden pourrait n'être qu'un simple exécutant d'un État voyou… Ainsi va naître «l'Axe du mal», un remake de «l'Empire du mal» de Ronald Reagan. Son précurseur direct, Al-Qaida en Irak (AQI), fut l’un des acteurs centraux d’une vaste insurrection sunnite contre le gouvernement irakien (contrôlé par des chiites) et les forces d’occupation étrangères. Il portait la voix de la France en février 2003 pour dire « Non » à la guerre en Irak. Ils réunissent autour d’eux une coalition de quarante-neuf États, mais les principales forces armées sont américaines et britanniques.  : […] La France, la Russie et la Chine, trois membres permanents du Conseil de sécurité de l'ONU, menacent d'utiliser leur droit de veto pour empêcher que l'ONU n'approuve l'intervention armée contre l'Irak. Inscrivez-vous à notre newsletter hebdomadaire et recevez en cadeau un ebook au choix ! Les informations collectées n'étaient pas solides, les analyses bâclées et les conclusions fondées sur des hypothèses erronées. La guerre actuelle en Irak est appelée la troisième guerre du golfe ou occupation de l’Irak. La France de Jacques Chirac appelle à la prudence. Il propose un calendrier pour le retrait progressif des troupes : les derniers soldats américains quittent le pays en décembre 2011. En outre, son équipe, bien que dépourvue de toute expérience gouvernementale, donne très vite une impression de grande compétence, notamment le chancelier de l'Échiquier, Gordon Brown, qui se pose en « chancelier de fe […] Si nous nous étions placés du point de vue irakien, nous aurions alors parlé de troisième guerre du Golfe, la première ayant été la guerre Iran-Irak. En février 2011, un certain Rafid Ahmed Alwan al-Janabi révèle dans une interview au quotidien britannique The Guardian qu'il est à l'origine de cette vaste «intox». Sous la direction d’Abou Moussab al-Zarkaoui, AQI a mené certaines des attaques les plus brutales et les pl […] La France avait menacé d'opposer son veto au vote d'une seconde résolution qui aurait autorisé une intervention armée, jugeant celle-ci injustifiée. Dix ans plus tard, le bilan fait honte à une bonne partie des Américains eux-mêmes. Paul Wolfowitz, adjoint au secrétaire à la Défense Donald Rumsfeld, affirme l'existence de liens entre Saddam Hussein et Al-Qaida. Une «tache dans ma carrière», va-t-il reconnaître quelques années plus tard. L'Irak figurait sur l'« axe du Mal » fustigé par le président George W. Bush à la suite des attentats du 11 septembre 2001, dans le cadre de sa campagne contre le terrorisme international et les pays qui le soutiennent. «  IRAK GUERRE D' (2003-2011)  » est également traité dans : Dans le chapitre « Des attentats du 11 septembre 2001 à la mort d'Oussama ben Laden » Cette option est réservée à nos abonné(e)s. Encyclopædia Universalis - Contact - Mentions légales - Consentement RGPD, Consulter le dictionnaire de l'Encyclopædia Universalis. Quelle est la meilleure montre connectée ? En France, les hauts revenus sont-ils tous des «riches»? Pour y chasser un tyran et y parachuter des valeurs démocratiques, comme l'affirment les avocats de l'administration Bush? Dès le premier jour de la guerre d'Irak, le 20 mars 2003, les forces américano-britanniques procèdent à des bombardements nocturnes sur Bagdad. Fort de ses succès en matière économique et sociale, dans une conjoncture favorable et face à une gauche en manque de leader et de projet, le P.P.  : […] La probabilité qu'une majorité du Conseil de sécurité refuse de suivre les États-Unis et le Royaume-Uni est forte, et ces derniers décident d'attaquer l'Irak sans l'aval du Conseil de Sécurité, ce … La guerre d'Irak, aussi appelée la troisième guerre du Golfe ou encore l'occupation de l'Irak, a commencé en mars 2003 par l’invasion de l'Irak par la coalition menée par les États-Unis. » De Guantanamo à l'Irak, Dick Cheney ne regrette rien, » Donald Rumsfeld règle ses comptes dans ses Mémoires, » ÉDITION ABONNÉS - Les mensonges grossiers de la Maison-Blanche, » ÉDITION ABONNÉS - La guerre d'Irak, dix ans après, » ÉDITION ABONNÉS - 2003: Paris et Berlin refusent le projet américain en Irak. Résumé de l'épisode Suite aux attentats du 11 septembre 2001, le président républicain des Etats-Unis, George Bush, avait promis à son peuple de vaincre le terrorisme. )font du porte-à-porte dans la ville de Fallujah, à 50 km à … Résumés Résumé Résumé. Les négociations devant les Nations unies pour tenter de trouver une solution pacifique au « problème irakien » n'aboutissent pas.