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Un peu d'Histoire

Basse - Pointe compte 3886 habitants appelés les Pointois ou les « Basse - Pointais »comme le disait si bien Aimé Césaire. Elle qui doit son nom à son relief, campée sur ses vertigineuses falaises, se situe au nord de la côte Atlantique de la Martinique entre la Montagne Pelée et l’Océan Atlantique.

Basse - Pointe est au bout du monde pour les foyalais. Ce n’est cependant pas le sentiment qu’elle laisse à ses habitants conscients de vivre au cœur d’un patrimoine naturel époustouflant riches d’un passé historique. Car c’est d’ailleurs la première impression que dégage cet endroit, une beauté faite de mer en furie et de falaises lovées sur les contreforts vallonnés d’une terre fertile et généreuse.

Une puissance poétique rare se dégage de ce terroir, dont Aimé Césaire, natif de la commune s’est fait l’écho. Basse - Pointe tient son nom de la partie la plus basse de son littoral où a été construit le premier embarcadère. Le bourg actuel fut, semble t-il, construit sur les terres de l’habitation Gradis.

 

Basse - Pointe est l’un des derniers bastions du peuplement Caraïbe avant de devenir l’uns des fiefs les plus populaires de la Colonisation. Une paroisse y est fondée. Elle est à l’origine du bourg dont la première mention date de 1685.

De grandes « habitations » ont fait sa richesse : Pécoul, Gradis, Eyma… De magnifiques  « Maisons de maître » existent encore. On y cultivait alors le tabac, le cacao avant de se consacrer au sucre.

Au début du XVIIIème siècle, la commune compte plus de dix habitations sucrières.

De l’embarcadère, des pirogues conduisaient les marchandises jusqu’aux grands bateaux de commerce qui prenaient le large.

Après l’abolition de l’esclavage, cette région devient le principal foyer de l’immigration indienne (de 1853 à 1883) et perpétue jusqu'à ce jour les rituels « bondié cooli » ramené du pays d’origine.

 Et puis, ce fut le temps de déclin de l’industrie sucrière et avec lui la crise économique et sociale.

Basse - Pointe devient après la deuxième guerre mondiale, le centre névralgique de la lutte ouvrière à la Martinique, après avoir connu grèves et affrontements liés aux difficultés de l’industrie sucrière (« Février 74 », « Les 16 de Basse - Pointe »).

Aujourd’hui, la canne a cédé la place à la banane qui couvre près de la moitié des surfaces agraires de la commune et Basse - Pointe ne demande qu’à déve-lopper son formidable potentiel touristique et patrimonial. L’ancien port est d’ailleurs un site incontournable puisqu’il offre au bout d’une rue encore pavée, un point de vue extraordinaire sur les falaises. Quelques intrépides surfeurs se risquent quelques fois sur la crête des vagues, lorsque la mer retient un peu sa course furibonde...

 

 

 

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