Religion Corée du Sud la liberté de culte a toujours été ou presque respectée, l'état et l'église ont un régime de séparation permettant cette liberté, Les rites aux ancêtres. Le bouddhisme et le christianisme (protestantisme et catholicisme) sont les principaux courants religieux en Corée, mais le confucianisme et le chamanisme (animisme) ont gardé une certaine influence. La plus importante, la secte Jogye, rassemble 90 % de bouddhistes coréens. Le bouddhisme coréen, malgré une riche tradition, a pratiquement disparu à l'aube du XXe siècle en tant qu'institution religieuse, après 500 ans de répression sous le royaume de Joseon. Alors qu’aux origines les religions principales étaient le chamanisme et le bouddhisme, vous découvrirez au cours de votre voyage en Corée du Sud que de nos jours dans le panorama religieux du pays, le christianisme occupe la première place. En Corée du Sud, le chamanisme a la vie dure. La francophonie locale Le bouddhisme et le christianisme (protestantisme et catholicisme) sont les principaux courants religieux en Corée, mais le confucianisme et le chamanisme (animisme) ont gardé une certaine influence. En effet, selon une enquête de 2012, seuls 15% de la population se sont déclarés non religieux au sens d'"athéisme". Elle revendique 2 millions de fidèles dans le monde (10 % en Corée). Au cours de la seconde moitié du XXe siècle, l'État sud-coréen a adopté des mesures visant à marginaliser davantage les autochtones, le Sindo, tout en renforçant le christianisme et en faisant renaître le bouddhisme. Toute l’actualité sur le sujet Corée du Sud. Le bicentenaire des premiers martyrs chrétiens en Corée (it.) Même s'il paraît empreint de superstition aujourd'hui, le chamanisme demeure bien vivant en Corée du Sud, où 40 000 mudang sont officiellement recensés (100 000 selon les ethnologues). On estime que plus d'un million de chrétiens ont émigré dans le sud du pays. Les religions chamaniques autochtones (c'est-à-dire Sindo) restent populaires et pourraient représenter une grande partie des personnes non affiliées. « Le mudang, ou chaman - presque toujours une femme - est censé communiquer avec le monde des esprits en recourant à la transe, l'extase, le chant ou le conte. Les laïcs y ont gardé une grande place. Dans cet article nous allons étudier comment l’histoire et les hommes ont influencé la place des religions dans la société contemporaine de Corée du Sud. Toegye (1501-1570) : le plus grand confucianiste de Corée, Jeunes adeptes du confucianisme Les bouddhistes représenteraient une petite moitié de la population (de 45 à 48 %). Si le premier pasteur protestant (l'américain Horace Allen) est arrivé en Corée en 1884, le protestantisme a sutout connu une forte croissance depuis la guerre de Corée. C’est la religion de nombreux dirigeants de Corée du Sud depuis 1945, dont le catholique Kim Dae-jung (1998-2003) et le presbytérien Lee Myung-bak(2008-2013). Officiellement, il n'existe pas de minorités linguistique en Corée du Sud, seulement des minorités religieuses. La plupart sont presbytériens. Le salut par le foot : l 'exploration par une ethnologue de l'Église de la Providence qui fait du foot une partie intégrante de la liturgie. L'Eglise venait de naître en Corée, même s'il fallut plusieurs années pour que des prêtres arrivent. Entre le Chuseok, Seollal, l'anniversaire à 1 an, rien n'est pareil en Corée ! Les premières migrations de peuplades néolithiques dans la péninsule coréenne remontent au III e millénaire avant l’ère chrétienne. Jusqu’au XIVe siècle, c’était la religion officielle. La célébration des grands événements de la vie : centième jour après la naissance, mariage, mort, empruntent au rituel confucéen » (Jacques Fabre, l’État des religions) Dernière modification de cette page le 23 juillet 2020 à 23:28. Parmi les membres d'une organisation religieuse, le protestantisme représente (19,7%) de la population totale, le bouddhisme (15,5%) et le catholicisme (7,9%). Les principales religions en Corée du Sud sont le christianisme et bouddhisme même si le confucianisme et le chamanisme ont gardé une grande influence. Les religions indigènes sont le Corée du Sud : Les bouddhistes contre un président favorable aux Protestants Sauvegarder « l’harmonie et la coopération entre les différentes religions » septembre 02, 2008 00:00 ZENIT Staff Justice et paix. La Corée du Sud connaît un régime de séparation de l’Église et de l’État assurant un libre exercice des cultes. Et, en 2018, l’augmentation du nombre de catholiques est passée sous le seuil de 1 % par rapport à 2017. Il se fractionna en nombreuses autres écoles la plus célèbre étant celle de Seon (Zen, en japonais). Parmi les membres d'une organisation religieuse, le protestantisme représente (19,7%) de la population totale, le bouddhisme (15,5%) et le catholicisme (7,9%). Confucianisme, Shintoïsme, Christianisme, Chamanisme, depuis l’introduction du Bouddhisme au 5ème siècle avant JC, le paysage religieux de la Corée du Sud a beaucoup évolué. » (extrait de Lonely planet) De cette origine très particulière, l'église coréenne conserve une trace profonde. ), Statue de Bouddha (Sokkuram) Les deux Corées ont adopté, le 27 avril 2018, la « Déclaration de Panmunj… La Corée du Sud serait le pays disposant du plus faible taux de reproduction au monde. Venez découvrir la différence entre les traditions coréennes VS françaises ! Le christianisme avait des antécédents dans la péninsule coréenne dès le XVIIIème siècle, lorsque l'école philosophique de Seohak soutenait la religion. Share this Entry. Le catholicisme s’accommode (plus facilement que le protestantisme) du culte des ancêtres, notamment de la fête de Chusok fêté par tous les Coréens quelque soit leur religion. Il concernerait un bon tiers de la population (ou seulement 20 %, les chiffres varient, beaucoup selon les sources). Les catholiques coréens [sont] très engagés dans la société. Selon le recensement de 2015, la proportion de personnes non affiliées est plus élevée chez les jeunes, environ 65% chez les 20 ans. L’imaginaire sud-coréen reste habité par les âmes des morts virevoltant parmi les vivants. Avec la chute du Joseon dans les dernières décennies du XIXe siècle, les Coréens ont largement adopté le christianisme, car la monarchie elle-même et les intellectuels se sont tournés vers les modèles occidentaux pour moderniser le pays et ont approuvé le travail des missionnaires catholiques et protestants. Rituels bouddhistes en Corée (it. C’est au 18ème siècle que des lettrés coréens commencent à manifester un intérêt pour les “études occidentales”, à travers les textes de Matteo Ricci, l’un des premiers jésuites italiens à avoir pénétré en Chine. Alors que le recensement de 2005 consistait en une analyse de l'ensemble de la population ("enquête dans son ensemble") à l'aide de feuilles de données traditionnelles compilées par toutes les familles, le recensement de 2015 a été réalisé en grande partie par Internet et s'est limité à un échantillon d'environ 20% de la population sud-coréenne. La Corée du Sud est ainsi le second pays missionnaire après les États-Unis. Le site officiel de la secte Moon (fr.) Le chamanisme Le christianisme et le bouddhisme en sont les religions dominantes avec respectivement 49 % (36 % de protestants et 13 % de catholiques) et 47 % des croyants. Les jeunes générations en rejètent aujourd’hui la mentalité paternaliste qui a conforté les dictatures et régit encore les relations employeurs-employés. Toutes les religions sont permises. La population a également pris part aux rites de confucianisation et a tenu un culte privé des ancêtres. Un faible pourcentage de Sud-Coréens (0,8% au total) sont membres d'autres religions, dont le bouddhisme Won, le confucianisme, le cheondoisme, Daesun Jinrihoe, le daejongisme, le jeungsanisme et le christianisme orthodoxe. La voie du zen coréen : les sermons de Kusan Sunim, un des plus grands maîtres modernes du zen coréen La Corée du Sud, officiellement la République de Corée, est un État d'Asie de l'Est, situé au sud de la péninsule coréenne. « Au niveau famillial, l’influence du confucianisme est prépondérante dans les sacrifices aux ancêtres, le Jour de l’An et le 15 du hutième mois, sans parler des sacrifices anniversaires. Les catholiques sont d'ailleurs très présents dans la vie politique : ils représentent un député sur cinq et, lors de la dernière élection présidentielle [1997], les deux principaux candidats étaient catholiques. La liberté de culte est garantie en Corée du Sud. Bouddhistes Les religions en Corée (fr. C’est aujourd’hui le courant religieux qui progresse le plus vite, mais en même temps, une partie des catholiques se déclarent aujourd’hui non pratiquant. C'était à nouveau le cas en 2002, quand un président catholique a succédé à un autres catholique, qui avait lui-même remplacé un protestant (Kim Youg-sam). Les communautés bouddhistes et catholiques ont critiqué les résultats du recensement de 2015. Retrouvez de nombreuses informations culturelles pour mieux préparer votre voyage en Corée du Sud avec Voyageurs du Monde Culture Corée du Sud : langues, religions, cuisine - Voyageurs du … L’Église de l’Unification de Moon Sun-Myong (dite « secte Moon ») : très conservatrice, son anticommunisme forcené lui a valu des adhésions au sein les milieux d'extrême droite en Europe ou en Amérique du Nord. Cet article est une analyse historique des rapports entre la politique et quatre religions institutionnelles en Corée du Sud, le Le premier président de Corée, Syngman Rhee, était protestant methodiste. Le christianisme Une espérance de vie en hausse constante, des mariages plus tardifs, le travail des femmes et les pressions sociales liées aux congés de maternité sont des facteurs qui expliquent, comme dans d'autres sociétés (le Japon en tête) le recul des naissances. La religion en Corée du Sud se caractérise par le fait qu'une majorité de Sud-Coréens (56,1%, selon le recensement national de 2015) n'ont aucune affiliation officielle avec une religion. Le premier baptisé coréen, Yi Seung-hoon a reçu son sacrement en 1784. L’activisme des chrétiens dan… Période dont elle a conservé un certain prestige. Le confucianisme « À la fin du XVIIIe siècle, des lettrés confucéens de Corée découvrent un ouvrage du missionnaire jésuite Matteo Ricci. Vous voulez connaître le nombre et le pourcentage des religions dans Corée du Sud. L’Église de la Providence de Jong Myong-Sok Il a été marqué par la participation de la Corée du Nord aux Jeux Olympiques d’hiver de Pyeongchang en février 2018 et la tenue de trois Sommets entre le Président MOON et le dirigeant KIM Jong-un le 27 avril et le 26 mai à Panmunjeom puis du 18 au 20 septembre à Pyongyang. La Voie vers le ciel Selon des spécialistes, les recensements sud-coréens ne prennent pas en compte les croyants du sindo autochtone et sous-estiment le nombre d'adhérents aux sectes sindo. Par Vikidia, l’encyclopédie pour les jeunes, qui explique aux enfants et à ceux qui veulent une présentation simple d'un sujet. Le dialogue intercoréen a repris en début d’année 2018, après deux ans d’interruption. Le bouddhisme arriva de Chine en 372. La Corée du Sud (en coréen: Hankuk, «le pays des Han»), ... (49 %) est de religion chrétienne (protestants et catholiques), 47 % bouddhiste, 3 % confucianiste (officiellement, mais pour les Coréens: un tiers de la population pour chacune des trois religions). Au cours de plusieurs visites, le pape Jean Paul II a cannonisé plusieurs dizaines de martyrs coréens. Bibliographie Il existe, en Corée du Sud, une liberté de culte. Depuis des années, l’Église catholique en Corée du Sud affiche un taux de croissance remarquable d’environ 2 % par an (pour une population dont … La Corée du Sud s’est toujours distinguée par un régime très autoritaire, souvent même militaire – ce qui est rarement le gage d’une économie dynamique – et ce n’est que récemment, sous la pression de la rue, que le pays s’est peu à peu démocratisé. Les religions et les philosophies organisées appartenaient aux élites dirigeantes et le long patronage exercé par l'empire chinois a conduit ces élites à adopter un confucianisme particulièrement strict (le confucianisme coréen). La Corée du Sud connaît un régime de séparation de l’Église et de l’État assurant un libre exercice des cultes. histoire, nourriture, culture.